Cécile Elma Roger, Ève Gentilhomme

Diplodocus

Tout à l’heure, devant tout le monde, Abel a déclaré fièrement : « Moi, quand je serai grand je serai un fleuve. » Et malgré les autres enfants qui tentent de saccager son rêve insensé, il persévère, la tête haute, dans son optimisme.


Bayard Jeunesse

À la ferme, Kiko est une terreur.
Que ce soit la poule, le chien
ou la plus petite des souris,
il les maltraite tous, et tous ont peur de lui !
Comment les bêtes vont elles
faire comprendre au garçon
qu'elles sont, comme lui, capables
d'émotions et méritent le respect ?

Un univers poétique et plein de charme
Sur une question très actuelle.
Découvrez les jeunes talents
Du cinéma d'animation d'aujourd'hui.


HongFei Cultures

La veille de Noël, Xiong reçoit de son père un ticket de musée. Là, d’abord incrédule et sans enthousiasme, il découvre l’univers infini de l’art. Ici, tout est étrange et surprenant. Que faut-il regarder ? Qu’est-ce qu'une œuvre ? Qu'en pensez ? Petit à petit, la déambulation naïve du petit visiteur permet d'aborder les grandes questions sur l’art et le rapport que son public entretient avec lui. Tout cela l’air de rien, avec sensibilité, tendresse, intelligence et humour.


Éditions les Fourmis rouges

« C’était il y a longtemps, très longtemps, si longtemps que personne ne s’en souvient.
C’était du temps où les hommes n’existaient pas, voilà pourquoi. »
Le Dabba d’en haut et le Dabba d’en bas sont frères. Ensemble, ils ont créé le monde, son ciel, ses montagnes
et les bêtes qui l’habitent. Une nuit, ils créent ensemble une « drôle de bête » qui n’a ni crocs, ni écailles, ni
griffes, ni plumes ! Mais à quoi donc servirait-elle ?
Avec Une drôle de bête, Martine Laffon, docteresse en philosophie et passionnée de mythologie, raconte
la naissance de l’homme. Comme pour Elle tourne comme ça (paru en 2015 et illustré par Mayumi Otero), il
s’agit d’une cosmogonie, cherchant par la fiction à expliquer l’existence des choses et du monde. S’inspirant de
la légende des frères Prométhée et Epiméthée, ce conte plein de poésie et d’humour initie en douceur à la
mythologie. Le tout est illustré avec malice par la géniale Delphine Durand.
Un mythe revisité de manière drôle et poétique par Martine Laffon, qui a un talent évident pour conter les
légendes et la mythologie.
• Les dessins colorés et hilarants de Delphine Durand fourmillent de détails : des créatures uniques et aussi
loufoques les unes que les autres. Un vrai régal pour les yeux !
• Le rythme de l’album avance crescendo et le lecteur se délecte de savoir comment la drôle de bête va évoluer !


Gideon Sterer

Éditions les Fourmis rouges

Que se passe-t-il la nuit, lorsque la fête foraine a fermé ses grilles ? Approchez et observez...
Les animaux de la forêt y ont pénétré en secret !
Dans le grand pré, une fête foraine s’est installée... Les animaux de la forêt observent tous ces
humains qui mangent des barbes-à-papa et montent sur des chevaux de bois... À la tombée de
la nuit, ours, lièvres, ratons-laveurs et sangliers pénêtrent dans le parc. Ils testent la grande roue
et grimpent dans les montagnes russes... Il s’ennivrent de sensations fortes et de plaisirs sucrés
jusqu’au lever du jour où, un peu sonnés, ils regagnent leur clairière.
Dans la lignée de Profession crocodile, et illustré par la même talentueuse artiste
Mariachiara Di Giorgio, La Nuit de la fête foraine est un album tout en images, sans texte.
Chaque détail est savoureux à observer, et le lecteur se plonge dans cette ambiance de fête à la
fois joyeuse et poétique, le temps d’une parenthèse enchantée.
• Après le succès du formidable Profession crocodile, un nouvel album sans texte illustré par
Mariachiara Di Giorgio !
• Un album joyeux et poétique, comme une parenthèse enchantée : le temps d’une nuit, et dans le
secret, les lieux que nous connaissons prennent vie, comme revenus à la vie sauvage...
• Des détails irrésistibles, des situations cocasses : les animaux du livre sont attendrissant dans leurs
tentatives de singer les humains, parfois maladroitement, car finalement ce n’est rien d’autre qu’une
grande farce...