- EAN13
- 9782081332218
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 08/01/2014
- Collection
- gf
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Figure tutélaire et conscience éclairée de son temps, Victor Hugo fut de
toutes les luttes. La première d’entre elles ? La liberté de la presse.Dès
1819, il fonde Le Conservateur littéraire, qu’il rédige avec ses frères et
plusieurs jeunes écrivains romantiques. Il y critique les dernières parutions
ou y éreinte de mauvais dramaturges. Sa plume est allègre et audacieuse : il
va jusqu’à encourager un Lamartine de douze ans son aîné ! Ses convictions, il
les exprima d’abord dans la presse. Devenu républicain, il stimulera sans
relâche la création de nouvelles feuilles et soutiendra les journalistes
opprimés.La présente anthologie entend mettre à l’honneur l’oeuvre de Hugo
journaliste. Celle-ci est marquée par d’importants combats – pour la justice,
contre la peine de mort… –, et par d’autres qui montrent parfois un grand
homme soucieux de l’image qu’il destine à la postérité. Si Hugo prit
quelquefois ses distances avec le journalisme, qu’il estime trop rivé aux
faits, il comprit très vite l’importance du phénomène journalistique, qu’il a
vu naître et s’amplifier. Pour lui, la mission de la presse n’est rien de
moins qu’une mission civilisatrice. Contre l’anecdotique, il veut restaurer la
primauté de l’Idée. Une leçon de journalisme.
toutes les luttes. La première d’entre elles ? La liberté de la presse.Dès
1819, il fonde Le Conservateur littéraire, qu’il rédige avec ses frères et
plusieurs jeunes écrivains romantiques. Il y critique les dernières parutions
ou y éreinte de mauvais dramaturges. Sa plume est allègre et audacieuse : il
va jusqu’à encourager un Lamartine de douze ans son aîné ! Ses convictions, il
les exprima d’abord dans la presse. Devenu républicain, il stimulera sans
relâche la création de nouvelles feuilles et soutiendra les journalistes
opprimés.La présente anthologie entend mettre à l’honneur l’oeuvre de Hugo
journaliste. Celle-ci est marquée par d’importants combats – pour la justice,
contre la peine de mort… –, et par d’autres qui montrent parfois un grand
homme soucieux de l’image qu’il destine à la postérité. Si Hugo prit
quelquefois ses distances avec le journalisme, qu’il estime trop rivé aux
faits, il comprit très vite l’importance du phénomène journalistique, qu’il a
vu naître et s’amplifier. Pour lui, la mission de la presse n’est rien de
moins qu’une mission civilisatrice. Contre l’anecdotique, il veut restaurer la
primauté de l’Idée. Une leçon de journalisme.
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