- EAN13
- 9782130741640
- Éditeur
- PUF
- Date de publication
- 17/09/2015
- Collection
- Cahiers du Cercle des économistes
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
De multiples exemples tirés de l'actualité incitent à répondre à cette
question par la négative : une procyclicité qui ne se réduit pas, une
volatilité croissante, des marchés dérivés de matières premières qui
s'emballent, des bulles financières à répétition qui se préparent. Et
pourtant, les quatre G20 qui se sont succédé ont semblé prendre les problèmes
à bras-le-corps et, dans certains domaines, ont enregistré des avancées
incontestables. Comment aller plus loin ? Puisse ce livre être un guide pour
la présidence française du G20. Il part d'un diagnostic sans concessions des
dérives, passées et présentes, de la planète financière. Sur cette base, il
esquisse les voies possibles d'une régulation de la finance mondiale qui
devrait permettre à celle-ci de jouer le rôle qu'elle n'aurait jamais dû
trahir : celui de gérer au mieux l'épargne et de financer la croissance et la
création d'emplois, sans se laisser aveugler par les illusions du « short
termism ». Les voies de ce renouveau sont parfois sinueuses, mais parfaitement
carrossables, si la volonté politique de mettre la finance au service de la
croissance et de l'équité reprenait le dessus…
question par la négative : une procyclicité qui ne se réduit pas, une
volatilité croissante, des marchés dérivés de matières premières qui
s'emballent, des bulles financières à répétition qui se préparent. Et
pourtant, les quatre G20 qui se sont succédé ont semblé prendre les problèmes
à bras-le-corps et, dans certains domaines, ont enregistré des avancées
incontestables. Comment aller plus loin ? Puisse ce livre être un guide pour
la présidence française du G20. Il part d'un diagnostic sans concessions des
dérives, passées et présentes, de la planète financière. Sur cette base, il
esquisse les voies possibles d'une régulation de la finance mondiale qui
devrait permettre à celle-ci de jouer le rôle qu'elle n'aurait jamais dû
trahir : celui de gérer au mieux l'épargne et de financer la croissance et la
création d'emplois, sans se laisser aveugler par les illusions du « short
termism ». Les voies de ce renouveau sont parfois sinueuses, mais parfaitement
carrossables, si la volonté politique de mettre la finance au service de la
croissance et de l'équité reprenait le dessus…
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