- EAN13
- 9782738160096
- Éditeur
- Odile Jacob
- Date de publication
- 06/1997
- Collection
- Gypsy
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La plupart du temps, la naissance est une formalité. Mais elle peut devenir
d'une grande complexité lorsquec'est la mort, et non la vie, qui est au
rendez-vous. Fausses couches, interruptions médicales de grossesses,réductions
embryonnaires, décès périnatals... Ces morts précoces qui ne bénéficient pas
encore d'une parole publique laissent les parents à la solitude de leur
chagrin et à leur sentiment de culpabilité. N'est-il pas primordial que les
parents, même si cela est douloureux, voient leur enfant ? Qu'ils le
prénomment ? Qu'ils le déclarent ? Qu'ils accomplissent des rituels de deuil
et inscrivent le non-né dans l'histoire familiale ? Médecins, sages-femmes,
anthropologues, philosophes et psychanalystes se sont interrogés sur leur rôle
face à cette mort brutale, insolente, qui surgit au sein même d'une autre vie
: comment, se demandent-ils, accompagner ces patients sur le chemin de leur
deuil ? Colloque Gypsy I, le 13 décembre 1996, avec Marilia Aisenstein,
Francine Caumel-Dauphin, Didier David, Geneviève Delaisi, Maryse Dumoulin,
Muriel Flis-Trèves, René Frydman,Camille Laurens, Catherine Le Grand-Sébille,
Jean-Philippe Legros, François Olivennes, Ginette Raimbault, Catherine
Rongières-Bertrand, François Roussel, Michel Soulé, Anne-Sylvie Valat, Michèle
Vial-Courmont, Françoise Zonabend.
d'une grande complexité lorsquec'est la mort, et non la vie, qui est au
rendez-vous. Fausses couches, interruptions médicales de grossesses,réductions
embryonnaires, décès périnatals... Ces morts précoces qui ne bénéficient pas
encore d'une parole publique laissent les parents à la solitude de leur
chagrin et à leur sentiment de culpabilité. N'est-il pas primordial que les
parents, même si cela est douloureux, voient leur enfant ? Qu'ils le
prénomment ? Qu'ils le déclarent ? Qu'ils accomplissent des rituels de deuil
et inscrivent le non-né dans l'histoire familiale ? Médecins, sages-femmes,
anthropologues, philosophes et psychanalystes se sont interrogés sur leur rôle
face à cette mort brutale, insolente, qui surgit au sein même d'une autre vie
: comment, se demandent-ils, accompagner ces patients sur le chemin de leur
deuil ? Colloque Gypsy I, le 13 décembre 1996, avec Marilia Aisenstein,
Francine Caumel-Dauphin, Didier David, Geneviève Delaisi, Maryse Dumoulin,
Muriel Flis-Trèves, René Frydman,Camille Laurens, Catherine Le Grand-Sébille,
Jean-Philippe Legros, François Olivennes, Ginette Raimbault, Catherine
Rongières-Bertrand, François Roussel, Michel Soulé, Anne-Sylvie Valat, Michèle
Vial-Courmont, Françoise Zonabend.
S'identifier pour envoyer des commentaires.