- EAN13
- 9791035105839
- Éditeur
- Publications de la Sorbonne
- Date de publication
- 03/04/2020
- Collection
- Histoire ancienne et médiévale
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
L’identification des personnes dans les mondes grecs
Publications de la Sorbonne
Histoire ancienne et médiévale
Cet ouvrage, qui réunit des spécialistes des cités grecques et du royaume
ptolémaïque, se propose d’interroger la notion d’identité dans les mondes
grecs par le biais des processus d’identification, processus qui conduisent
conjointement à singulariser un individu et à le différencier d’un autre pour
pouvoir le reconnaître. Il procède de deux objectifs : tenter de dépasser
l’effet de rupture suscité par la spécificité des sources conservées pour les
cités grecques d’époque classique, d’une part, et pour les royaumes
hellénistiques, d’autre part ; confronter la perspective sociale et la
perspective juridique afin de cerner ce qui unit et sépare les tenants d’une
histoire sociale à proprement parler et ceux qui centrent leurs objets sur les
normes juridiques et les pratiques en contexte judiciaire. Un premier groupe
de cinq articles interroge ainsi le degré d’implication des instances de la
polis ou de l’État monarchique en matière d’identification des personnes (A.
Maffi, P. Ismard, U. Yiftach, Y. Broux – avec un éclairage complémentaire
offert par M. Béraud pour le monde romain). Six autres contributions explorent
plus particulièrement les relations et les tensions entre identifications
individuelles et identifications collectives (R. Guicharrousse, M.-L. Sronek,
L. Sot, K. Bouillot, S. Wackenier, L. Rossi). Trois études enfin sont centrées
sur les pratiques d’identification en contexte judiciaire et parajudiciaire
(N. Siron, É. Scheid-Tissinier, G. Baetens).
ptolémaïque, se propose d’interroger la notion d’identité dans les mondes
grecs par le biais des processus d’identification, processus qui conduisent
conjointement à singulariser un individu et à le différencier d’un autre pour
pouvoir le reconnaître. Il procède de deux objectifs : tenter de dépasser
l’effet de rupture suscité par la spécificité des sources conservées pour les
cités grecques d’époque classique, d’une part, et pour les royaumes
hellénistiques, d’autre part ; confronter la perspective sociale et la
perspective juridique afin de cerner ce qui unit et sépare les tenants d’une
histoire sociale à proprement parler et ceux qui centrent leurs objets sur les
normes juridiques et les pratiques en contexte judiciaire. Un premier groupe
de cinq articles interroge ainsi le degré d’implication des instances de la
polis ou de l’État monarchique en matière d’identification des personnes (A.
Maffi, P. Ismard, U. Yiftach, Y. Broux – avec un éclairage complémentaire
offert par M. Béraud pour le monde romain). Six autres contributions explorent
plus particulièrement les relations et les tensions entre identifications
individuelles et identifications collectives (R. Guicharrousse, M.-L. Sronek,
L. Sot, K. Bouillot, S. Wackenier, L. Rossi). Trois études enfin sont centrées
sur les pratiques d’identification en contexte judiciaire et parajudiciaire
(N. Siron, É. Scheid-Tissinier, G. Baetens).
S'identifier pour envoyer des commentaires.