- EAN13
- 9782889680368
- ISBN
- 978-2-88968-036-8
- Éditeur
- Infolio
- Date de publication
- 02/06/2022
- Collection
- PRESTO
- Nombre de pages
- 64
- Dimensions
- 17,1 x 11,4 x 0,7 cm
- Poids
- 90 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Juriste de formation mais philosophe par vocation, Charles Secrétan (1815- 1895) fait une entrée fracassante dans le monde de la pensée avec sa Philosophie de la liberté, publiée en 1848. Libéral, il est attaché au principe de la responsabilité intellectuelle et sera toujours très critique envers l'État. Très lu en France à la fin du XIXe siècle, il mérite d'être redécouvert.
Juriste de formation mais philosophe par vocation, empli également d'une forte conscience religieuse, Charles Secrétan (1815- 1895) fait une entrée fracassante dans le monde de la pensée avec sa Philosophie de la liberté, publiée en 1848. Libéral, il est attaché au principe de la responsabilité intellectuelle et sera toujours très critique envers l'État. Il développe cependant, au fil du temps, une vision sociale, et même féministe, éloignée d'un libéralisme trop strict auquel il reproche, comme au socialisme, sa dimension trop matérialiste. Très lu en France à la fin du XIXe siècle, il mérite d'être redécouvert: sa volonté de refonder l'idée de la liberté dans un cadre social et religieux le place parmi les théoriciens d'un libéralisme à forte connotation morale qui ne sera pas sans influence sur les premiers architectes du rôle social de l'État.
Juriste de formation mais philosophe par vocation, empli également d'une forte conscience religieuse, Charles Secrétan (1815- 1895) fait une entrée fracassante dans le monde de la pensée avec sa Philosophie de la liberté, publiée en 1848. Libéral, il est attaché au principe de la responsabilité intellectuelle et sera toujours très critique envers l'État. Il développe cependant, au fil du temps, une vision sociale, et même féministe, éloignée d'un libéralisme trop strict auquel il reproche, comme au socialisme, sa dimension trop matérialiste. Très lu en France à la fin du XIXe siècle, il mérite d'être redécouvert: sa volonté de refonder l'idée de la liberté dans un cadre social et religieux le place parmi les théoriciens d'un libéralisme à forte connotation morale qui ne sera pas sans influence sur les premiers architectes du rôle social de l'État.
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