Droits du travail et des fonctions publiques : Unités (s) du droit ? Influences, convergences, harmonisations., SOUS LA DIRECTION DU PR. MATHIEU TOUZEIL-DIVINA ET DE M. MORGAN SWEENEY
EAN13
9782954118802
ISBN
978-2-9541188-0-2
Éditeur
Éditions l'Épitoge
Date de publication
Collection
UNITE DROIT
Nombre de pages
262
Dimensions
24 x 16 x 2 cm
Poids
435 g
Fiches UNIMARC
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Droits du travail et des fonctions publiques : Unités (s) du droit ? Influences, convergences, harmonisations.

Sous La Direction Du Pr. Mathieu Touzeil-Divina Et De M. Morgan Sweeney

Éditions l'Épitoge

Unite Droit

Indisponible
"Les présents actes, réunis sous la direction du Pr. Mathieu Touzeil-Divina et de M. Morgan Sweeney, sont issus des deux premières journées d’un colloque organisé par l’association COLLECTIF L’UNITE DU DROIT à l’automne 2010 à l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense et ce, en collaboration, principalement, avec deux des laboratoires (de droit public (CRDP) et de droit privé (IRERP)) de cette institution ainsi que du laboratoire THEMIS-UM de l’Université du Maine.
Ces travaux s’inscrivent dans la continuité de précédentes recherches relatives à la confrontation des mondes et des droits du travail et des fonctions publiques. En effet, depuis la création et la reconnaissance d’un statut légal et réglementaire pour les fonctionnaires de la République, et même avant la Loi Thorez du 19 octobre 1946, plusieurs auteurs ont décrit, parfois avec angoisses ou au contraire avec optimisme, les rapprochements, les influences ou encore les conflits nés de cette opposition entre droits des travailleurs privés et publics . A Nanterre, et conséquemment dans les présentes pages issues de nos premiers travaux , il a donc été question non seulement de poursuivre cet état des lieux, ces recherches sur la confrontation et les influences des droits privé et public du travail, mais cela a aussi été l’occasion de proposer, de critiquer et d’appréhender l’avenir.
Combien de temps l’opposition public / privé – en droit des travailleurs – s’imposera-t-elle encore en France alors que certains pays ne la connaissent pas ou l’ont plus ou moins abandonnée ? Et, surtout, est-ce souhaitable ?
S’agit-il d’un simple « découpage » académique qui suivrait la summa divisio si chère aux universitaires nationaux ? "
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