EAN13
9782373001358
ISBN
978-2-37300-135-8
Éditeur
TEMPORIS
Date de publication
Collection
ACTUALITE PROSP
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Climat, transition énergétique/Dire la vérité aux français

Temporis

Actualite Prosp

À paraître
Les appréciations les plus courantes sur le rôle de l'ONU et du GIEC en matière de climat sont élogieuses. Le GIEC a réussi à s'imposer mondialement comme la source de référence en matière de science climatique et à imposer avec l'appui de l'alarmisme croissant exprimé par l'ONU, la condamnation du CO2 anthropique, devenu aujourdhui un dogme puisqu'il n'est plus autorisé d'émettre le moindre doute quant à sa réalité et à sa dangerosité.et pourtant il y a un envers à ce tableau.Il apparait que l'ONU, en privilégiant pour des raisons politiques , en 1992, le seul effet de serre du CO2 anthropique comme facteur majeur du changement climatique a "mis la charrue avant les boeufs" et fait un choix hasardeux, prématuré et réducteur: car en limitant les travaux du GIEC aux causes humaines du réchauffement climatique, était laissé de côté le vaste champ des causes naturelles (rôle du soleil, des océans, des nuages, facteurs orbitaux etc...).Mais cette stricte tutelle dans laquelle le GIEC a maintenu la science climatique a permis d'étouffer la voix des opposants et pesé sur l'orientation de la recherche scientifique. La seconde partie du livre présente les moyens et méthodes utilisées par le GIEC pour imposer la condamnation du du CO2 et rejeter ou minimiser toutes les autres causes éventuelles du Réchauffement climatique. Autant de faits qui discréditent sérieusement la gouvernance mondiale exercée par l'ONU et le GIEC sur les questions climatiques et énergétiques, alors que la voix des opposants est étouffée par une omerta quasi générale. Dans cette logique, les énergies renouvelables sont présentées par l'ONU et les écologistes comme la solution d'avenir pouvant se substituer aux énergies fossiles et réussir la transition ènergétique, en omettant sciemment d'en présenter les conséquences négatives sur notre économie et le bien être des populations. En conséquence c'est l'ensemble du dossier climatique et énergétique qui doit être "remis à plat", compte tenu des dérives constatées.
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